Qu’est-ce que construire un cas en psychanalyse ? par Omaïra Meseguer

Le CARPH présente sa deuxième conférence de la session:

Qu’est-ce que construire un cas en psychanalyse?
par Omaïra Meseguer

Quand? vendredi 16 octobre, 12h30-14h

Où? sur Zoom, inscrivez-vous ici: https://uqam.zoom.us/meeting/register/tJItdOihrjsrEtQNVBfr67dizlGYncfACXhY

*Gratuit et ouvert à toutes et tous*

«Un récit de cas implique toujours un choix du clinicien ; celui d’extraire, d’épingler, de mettre en avant ou de laisser de côté un certain nombre d’éléments pour cerner l’«os» du cas. Un cas, en psychanalyse, est une écriture qui tente d’attraper le plus singulier du sujet. Comment se nouent écriture et clinique ? À l’heure où nous sommes poussés à une logique de remplissage de cases, l’écriture de cas apparaît comme une manière de préserver l’incomparable de l’un par un.»

Omaïra Meseguer est psychanalyste à Paris, membre de l’École de la cause freudienne (ECF) et de l’Association mondiale de psychanalyse (AMP). Elle est psychologue clinicienne à l’Institut hospitalier soins études pour adolescents (IHSEA-Aubervilliers). Auteure de nombreux articles, elle est aussi rédactrice ajointe de la revue La Cause du désir.
Elle est l’invitée du Pont freudien pour sa 50e Rencontre (16-18 octobre), sur le thème «Irruption du sexuel». Informations et inscription ICI

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La co-construction du cadre en psychothérapie, par Alexandre Francisco

Le CARPH vous présente sa 1ere conférence (en ligne!) de la session d’automne 2020:


LA CO-CONSTRUCTION DU CADRE EN PSYCHOTHÉRAPIE
par Alexandre Francisco

QUAND? Le mercredi 23 septembre 2020, de 12h30 à 14h

OÙ? Sur Zoom, détails plus bas.


**Gratuit et ouvert à tous.tes**


«Le cadre en clinique est un élément essentiel de la psychothérapie et soulève plusieurs questions: qu’est-ce que le cadre exactement? Comment le construisons-nous? Au service de quoi et de qui doit-il être? Est-il vrai qu’il faut « cadrer » nos patients? Est-ce que le cadre se doit d’être flexible? Jusqu’où l’aménageons-nous? Est-ce que nous nous contentons de l’appliquer ou pouvons-nous l’utiliser thérapeutiquement? Le cadre peut-il être utilisé défensivement par le clinicien et le patient? Voilà les questions qui seront abordées lors de cette conférence.»

Alexandre Francisco, psychologue, a travaillé en psychiatrie générale à l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont de 2000 à 2019 avec des patients souffrant de troubles psychiatriques sévères et persistants tel que les troubles psychotiques, les troubles sévères de personnalité, les troubles dissociatifs, anxieux, alimentaires et de l’humeur. Il travaille depuis 2019 à l’IUSMM aux services spécialisés des troubles relationnels et de la personnalité où il pratique la thérapie individuelle et de groupe.

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Transformer l’inévitable: Regard sur le trauma vicariant et le soin de soi

Voici notre 6e conférence de la session:

Transformer l’inévitable: regard sur le trauma vicariant et le soin de soi
Catherine Emmanuelle Drapeau

Dates: Mercredi 11 mars de 12h30 à 14h
Emplacement: Pavillon Adrien-Pinard de l’UQAM (100 rue Sherbrooke O), local SU-1550.

« Si le cheminement professionnel des psychothérapeutes est fait d’altruisme, de croissance, de découvertes et de richesses, il rencontrera aussi une multitude de défis, dont l’un est le trauma vicariant. L’accueil empathique répété d’exposés imagés d’expériences traumatiques peut en effet exposer le thérapeute à ce phénomène. Le trauma vicariant peut avoir des effets délétères sur les sphères de la vie personnelle et professionnelle du psychothérapeute. Cette conférence en présentera la définition, les facteurs de développement et les conséquences, et discutera d’un moyen pour en mitiger l’expérience: le soin de soi (self-care).»

——Gratuit et ouvert à tou.te.s——

Catherine Emmanuelle Drapeau est art-thérapeute et éducatrice en art. Elle est candidate au doctorat en psychologie à l’UQÀM. Ses recherches s’intéressent au développement des psychothérapeutes et à la réponse par l’art en tant que pratique du soin de soi, en lien avec l’expérience du trauma vicariant.

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Qui sont les états limites? Conférence d’Isabelle Lasvergnas

Voici notre 5e conférence de la session:

QUI SONT LES ÉTATS LIMITES?
Par Isabelle Lasvergnas, psychanalyste


QUAND? Mercredi 4 mars de 12h30 à 14h
OÙ? Pavillon Adrien-Pinard de l’UQAM (100 rue Sherbrooke O), local SU-1550.

«On présentera, lors de cette conférence, une introduction aux modalités de fonctionnement psychique des patients classifiés « cas limites », catégorie qui recouvre un large spectre de symptomatologie : troubles graves de l’affect et de la personnalité, instabilité émotionnelle, pathologies narcissiques, etc. On illustrera ensuite, à partir de quelques vignettes cliniques, les principaux enjeux et difficultés psychothérapiques que posent ces patients aux prises avec des impasses sévères dans les processus internes de la représentation et de la mentalisation, et ayant souvent tendance à des recours massifs à l’acting out»

Gratuit et ouvert à tou.te.s

ISABELLE LASVERGNAS, psychanalyste membre de la SPM et de la SCP, a été professeure titulaire au département de sociologie à UQAM de 1991 à 2016, et directrice fondatrice de la Clinique psychanalytique de Montréal / Centre de consultation de la Société psychanalytique de Montréal de 2006 à 2014. Elle est aujourd’hui membre et directrice du collectif clinique Groupe psychanalytique du Mont-Royal, organisme clinique destiné à venir en aide aux personnes à faibles revenus. Elle est auteure de nombreux articles psychanalytiques et a dirigé plusieurs ouvrages collectifs.

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Clinique des psychoses, une autre perspective: deux ateliers cliniques

Le CARPH vous propose deux ATELIERS CLINIQUES orientés par la psychanalyse sur le travail avec les psychotiques. Ces deux ateliers sont gratuits et s’adressent aux étudiants.es (bacc et doc) comme aux divers intervenant.es dans le champ de la santé mentale. Une place importante sera laissée à la discussion avec les participants. Ils seront animés par MICHÈLE LAFRANCE.

QUAND? Mardi 3 mars et mardi 10 mars 2020, de 17h30 à 19h30
OÙ? Pavillon Adrien-Pinard de l’UQAM (100 rue Sherbrooke O), local SU-1560.

L’ENTRÉE EST LIBRE

«Nous partirons d’une critique du changement de paradigme idéologique porté par les différentes éditions du DSM (passage de la psychiatrie dite classique, avec sa psychopathologie, au modèle de la « santé mentale ») de sorte à mettre en perspective un autre abord de la clinique des psychoses. Nous déplierons succinctement certains concepts issus de la clinique psychanalytique contemporaine, en les éclairant de vignettes cliniques, afin de resituer ce terme de psychose qui nous sert tant à nous orienter dans la pratique parce qu’il rend compte d’une clinique différentielle dans sa structure. Diverses modalités d’accompagnements seront également discutées.»


MICHÈLE LAFRANCE est titulaire d’un diplôme d’études avancées (DEA) de psychanalyse de l’université Paris XIII et d’une maîtrise en psychologie clinique de l’université Laval. Elle est directrice de la Maison l’Éclaircie à Montréal et psychanalyste, membre de l’École de psychanalyse des Forums du Champ lacanien (EPFCL) et de l’Ordre des psychologues du Québec (OPQ).

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Se mettre à la place d’autrui: l’imagination est-elle toujours si innocente?

Après son passage au CARPH (Centre d’Activités et de Références Psychodynamique et Humaniste) pour sa dernière conférence sur l’amour et la fragilité, Gaëlle Fiasse revient pour une seconde conférence !

SE METTRE À LA PLACE D’AUTRUI: L’IMAGINATION EST-ELLE TOUJOURS SI INNOCENTE?

OÙ? 100 Sherbrooke Ouest, local SU-1550
QUAND ? Le mercredi 12 février de 12h30 à 14h00

*ENTRÉE LIBRE ET GRATUITE*

Hannah Arendt a dénoncé à plusieurs reprises le manque d’imagination dont souffrait le nazi Adolf Eichmann ainsi que son incapacité à se mettre à la place d’autrui. Le rôle éthique de l’imagination, apparenté au jugement chez Arendt, se retrouve également dans la philosophie de Paul Ricœur. Je montrerai dès lors que l’imagination chez Arendt est utilisée selon une finalité particulière qu’il importe de préciser, puisqu’elle doit s’accompagner d’une sympathie et d’une bienveillance pour jouer un rôle éthique. Il est en effet possible de se mettre à la place d’autrui pour lui faire du tort. La jalousie qui perçoit l’autre dans ses failles en est un exemple concret. J’analyserai ainsi les autres dimensions qui doivent accompagner l’imagination si on veut lui donner un sens éthique: le jugement d’existence qui insiste sur l’humanité d’autrui et son insubstituabilité, ainsi que le respect d’autrui et la bienveillance. J’insisterai également sur les figures de l’imagination chez Paul Ricœur.

Gaëlle Fiasse est professeure agrégée de philosophie à l’université McGill. Elle occupe un poste conjoint au département de philosophie et à l’Institut d’études religieuses (Faculté des Arts).

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Qu’est-ce que la violence qui nous habite? Par Anne Béraud

Le CARPH (Centre d’activités et de références psychodynamique et humaniste) vous présente sa 3e conférence de la session:

QU’EST-CE QUE LA VIOLENCE QUI NOUS HABITE?
par ANNE BÉRAUD, psychanalyste

QUAND? Le vendredi 7 février 2020, de 12h30 à 14h
OÙ? Pavillon Adrien-Pinard de l’UQAM (100 rue Sherbrooke O), local SU-1550.

**L’ENTRÉE EST LIBRE**

«La violence, l’agressivité et le passage à l’acte pourraient constituer une réponse du sujet à une situation intolérable pour lui. Pour la psychanalyse, la réponse est toujours singulière, elle est corrélative d’un acte qui renvoie à la responsabilité du sujet. Le passage à l’acte, c’est agir sa violence au lieu de la symboliser par les moyens de la parole. Mais tout peut-il se dire ? Il y a en effet des choses qui résistent à être dites parce qu’elles sont faites d’une autre substance que le langage. D’une substance qui s’exprime mieux par les gestes de la transgression. Ce qui est transgressé, ce sont les limites du langage. La violence peut être un retour en excès de la jouissance dont le défaut occupe le cœur de l’être.»

Venez en grand nombre!

Anne Béraud est psychanalyste à Montréal, membre de la New Lacanian School (NLS) et de l’Association mondiale de psychanalyse (AMP). Cofondatrice du Pont freudien, où elle enseigne, et présidente de NLS-Québec, elle est A.E. (Analyste de l’École) en exercice (2018-2021). Elle est titulaire d’un DESS de psychologie clinique et psychopathologie à l’Université Paris X.

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Le deuil, identification et intervention, par Johanne de Montigny

Le CARPH vous présente sa 2e conférence de la session hiver 2020

ENTRÉE LIBRE

QUAND ? Mercredi 29 janvier 2020 de 12h30 à 14h00
OÙ ? UQAM, pavillon SU, 100 Sherbrooke Ouest, local SU-1550

Entre le deuil dit « normal » et le deuil dit « complexe persistant », mise à part l’importance de connaître les critères proposés et les caractéristiques diagnostiques du DSM-5, la distinction n’est pas toujours facile à établir pour les psychologues ou futurs psychologues. Des facteurs concomitants et aggravants souvent émergent ou refont surface selon l’histoire familiale et le profil psychologique des individus qui nous consultent en raison de la perte d’un être cher, ou à tout le moins significatif dans leur vie. L’intensité des sentiments et des réactions, en termes de fréquence et de durée, la qualité des liens préexistants (son style d’attachement, son rapport avec la vie en soi, autour de soi et devant soi) demeurent des indications probantes, des sources d’information éclairantes pour mieux saisir ce que la personne a perdu en elle en perdant l’autre.


JOHANNE DE MONTIGNY est psychologue clinicienne ayant exercé pendant une trentaine d’années en soins palliatifs auprès des patients, des proches aidants (les familles), et en suivi de deuil dans deux hôpitaux du Centre universitaire de santé McGill (CUSM). Elle a parallèlement travaillé et se consacre à ce jour à une pratique privée essentiellement axée sur la clinique de deuil.

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La thérapie de groupe et son impact sur la thérapie individuelle. Conférence par Louise Dubuc et Christian Depot

Venez assister à la première conférence du CARPH de l’année 2020 !

La thérapie de groupe et son impact sur la thérapie individuelle.
par Louise Dubuc et Christian Depot

OÙ ? à l’UQAM, au pavillon SH, 200 Sherbrooke Ouest, local SH-3220.
QUAND ? Le Mercredi 22 janvier de 12h30 à 14h00.

**ENTRÉE LIBRE**

Cette présentation, effectuée en tandem, a pour objectif de mettre en relief les avantages thérapeutiques propres à la psychothérapie de groupe à partir de l’expérience vécue par nos clients en thérapie individuelle. Nous avons en effet observé des changements psychiques plus rapides et plus profonds chez tous ceux de nos clients qui se sont impliqués dans un processus alliant les deux approches, individuelles et en groupe. L’expérience en groupe a notamment eu un effet sur le développement de l’altruisme, sur les capacités d’échanges authentiques, la confiance en soi et les rapports aux autres. Nous aborderons également les désavantages de la situation groupale, tels que, entre autres, des régressions psychiques plus prononcées que les personnes trop fragiles ne peuvent supporter.


Louise Dubuc est psychologue et psychothérapeute en pratique privée, accréditée psychothérapeute gestaltiste en 1987 par le CCHA (Centre de Croissance et d’humanisme appliqué, Montréal). Chargée de cours à l’Université du Québec à Trois-Rivières, elle donne depuis plusieurs années des formations destinées aux psychothérapeutes/psychologues sur l’intervention auprès des victimes d’agression sexuelle, dans une approche existentielle/humaniste, corporelle et de résilience (psychologie du soi). Elle porte un intérêt particulier à la psychothérapie de groupe.

Christian Depot est psychologue et psychothérapeute depuis 25 ans, en pratique privée. Il est formé à la PGRO (psychothérapie gestaltiste des relations d’objets), à l’approche de groupe en Gestalt-thérapie ainsi qu’aux approches corporelles.

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Les fondements de la psychologie humaniste : une alternative non dualiste

Conférence à l’entrée libre et gratuite

OÙ ? A l’UQAM, 200 rue Sherbrooke Ouest, local SH-3220

QUAND ? Le Mercredi 13 novembre

Il sera présenté une alternative non dualiste des fondements de la psychologie humaniste. Plus particulièrement, les fondements de la conception de l’humain chez Buber et de la théorie du Self de Perls-Goodman. Dans un deuxième temps, les difficultés d’assimilation par les théoriciens de cette alternative non dualiste des fondements de la psychologie seront traités. Dans cette seconde partie de l’exposé, le propos sera appuyé en traitant de l’analyse de Delisle de la théorie du Self de Perls-Goodman, et de la réponse à la question des fondements de la psychologie de Rychlak : le Principe de Complémentarité.

Théoricien de la psychologie, Bertrand Simard s’intéresse aux fondements de celle-ci et plus particulièrement à la question du sujet de la psychologie et aux rôles des idéologies dans la perpétuation du problème d’unité fondamentale de la psychologie.

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