Psychothérapie et double transitionnel avec Alexandre Francisco

Mercredi 2 novembre, local SU-1550, UQÀM, 100 Sherbrooke Ouest, 12h30 à 14h.

Une fois de plus et pour le plus grand bonheur des auditeurs, le CARPH est très heureux de recevoir ALEXANDRE FRANCISCO, psychologue, qui viendra nous entretenir sur la « PSYCHOTHÉRAPIE ET LE DOUBLE TRANSITIONNEL ». Ne manquez pas cette belle occasion d’entendre parler de clinique par un vrai passionné! On vous y attend en grand nombre!

“La capacité de se réfléchir soi-même est centrale dans la construction et le développement de notre identité. Elle s’enracine dans un type de lien intersubjectif particulier avec les figures d’attachement que l’on appelle la relation en double. Le développement sain et pathologique de cette relation et de ses conséquences seront abordés.”

ALEXANDRE FRANCISCO, D.Ps., psychologue
Professeur chargé d’enseignement clinique à la faculté de médecine de l’Université de Montréal
Services des troubles relationnels et de la personnalité
Hôpital Maisonneuve-Rosemont
CIUSSS de l’Est-de-l’île-de-Montréal

Événement Facebook

Le traitement de l’enfant autiste, avec Silvia Elena Tendlarz

Jeudi le 20 octobre, de 12h30 à 14h, au SU-R310, UQÀM, 100 Sherbrooke O.

https://www.facebook.com/events/314607755573792/

« Comment approcher l’enfant autiste ? Comment l’analyste s’approche t-il de l’enfant, et comment l’enfant s’approche t-il de l’analyste ? Les enfants se montrent le plus souvent repliés sur un centre d’intérêt, sur leurs mouvements répétitifs, dans leur « carapace » autistique, apparemment déconnectés de ce qui se passe autour d´eux. Certains enfants parlent, d’autres pas. Certains sont absorbés par quelques objets ou mouvements, d’autres par la vision d’une image déterminée. Il n’existe pas d’enfant-type, pas plus qu’il n’existe d’enfant-type dans l’autisme. Tous les enfants sont différents dans leur singularité. On appelle « obsessions », les intérêts, les passions de l’enfant. Quelle place leur accorder dans la vie de l’enfant et dans le traitement de l’enfant autiste ? Sont-ils des obstacles qu’il faut corriger ou éliminer ? Bien que l’autiste a un fonctionnement particulier qui se maintient de façon stable tout au long de la vie, cela n’empêche pas qu’il y ait des transformations sur lesquelles le traitement analytique peut s’appuyer en partant des inventions de l’enfant. »

Silvia Elena TENDLARZ est psychanalyste à Buenos Aires (Argentine). Analyste Membre de la Escuela de Orientacion Lacaniana (EOL), de l’École de la Cause Freudienne (ECF) et de l’Association Mondiale de Psychanalyse (AMP). Docteur en psychologie (Université du Salvador, Buenos Aires) et en psychanalyse (Université Paris VIII). Professeure de la chaire clinique de l’autisme et de la psychose dans l’enfance (Université de Buenos Aires) et professeure titulaire de Psychopathologie de l’Université du Musée Social Argentine. Enseignante à l’Institut clinique de Buenos Aires et à la maîtrise en psychanalyse à l’Université de San Martin. Directrice de la Collection Diva. Auteure de plus d’une vingtaine de livres.

http://pontfreudien.org/

Réflexions autour de l’amour et de la fragilité avec Gaëlle Fiasse

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Midi Causerie avec Sophie Gilbert

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«Les soins aux adolescents vulnérables: enjeux et incidences dans l’approche des interventions cliniques en santé mentale», par Didier Drieu. En collaboration avec le GRIJA et la revue Filigrane

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Un doublé: « Le savoir-être et le savoir-faire en intervention psychodynamique » avec Alexandre Francisco ET « La place de l’enfant dans la psychanalyse» avec Dominique Holvoet

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La chasse aux sorcières et la question du diable ; constitution subjective de l’Autre méchant

Diable_VFinale_Couleur_2OctLe CARPH et NLS Québec (New Lacanian School) présentent:

 

La chasse aux sorcières et la question du diable ; constitution subjective de l’Autre méchant.

 

Une conférence de Jacob Rogozinski, Ph.D. (Université de Strasbourg)

 

« La figure de Satan et le mythe du « complot satanique » ont joué un rôle décisif dans la persécution de masse appelée « chasse aux sorcières » qui s’est déchaînée en Occident entre le XV° et le XVIII° siècle. J’avance comme hypothèse que la figure d’un Autre maléfique et la « théorie » du complot demeurent deux traits fondamentaux des dispositifs de persécution des temps modernes. Ainsi les mouvements totalitaires du XX° siècle ont-ils continué de diaboliser leurs ennemis, bien qu’ils aient abandonné toute croyance en cette figure déterminée de l’Autre maléfique que l’on désignait depuis des millénaires comme « Satan ». Comment opère une telle figuration? Doit-on reconnaître dans le diable, avec Freud, une figure du Père? Comment rendre compte alors de certains traits « maternels » qui la caractérisent? Peut-on repérer, en Satan, une métaphore de la jouissance? Qui se dissimule donc sous le masque du diable? »

 

Jacob Rogozinski est professeur au département de philosophie de l’Université de Strasbourg en France. Ses domaines de recherche sont la phénoménologie du corps et du sujet, philosophie et littérature, philosophie et psychanalyse et la philosophie politique.

Midi-causerie: avec Christian Thiboutot

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Comment devient-on psychanalyste?

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